L’assurance « à la demande » a le vent en poupe
Déjà en vogue à l’étranger, l’assurance « à la demande » est de plus en plus tendance en France. Cela consiste à souscrire des assurances de manière ponctuelle et pour des situations précises. En savoir plus sur le sujet …
Des offres mobile et sans engagement
Pour attirer les clients, les starts-ups qui proposent ce genre d’assurance proposent une facilité d’accès à leurs offres. Ainsi, les particuliers peuvent y souscrire :
- depuis leur mobile ce qui évite les longues paperasses
- sans aucun engagement : il leur suffit d’aller sur le site de l’assureur et d’y activer ou désactiver les options se référant à la situation qu’ils veulent assurer
par exemple, si Mr X souhaite louer sa voiture à un tiers, il va sur le site et clique soit sur « conducteur secondaire » soit sur « copartage » selon l’accord que vous avez souscrit avec celui qui loue votre véhicule.
Un mode de paiement facile
Chaque fois qu’il aura envie de souscrire à une formule, le client verra la somme qui lui sera prélevée le mois suivant. A ce stade, il a encore le choix entre continuer la souscription ou l’annuler s’il juge le montant trop cher. Ce qui est sûr, c’est que dans un souci de fidéliser les clients, ces starts-ups proposent des tarifs compétitifs sauf à la première utilisation.
En effet, pour réduire les risques de fraude, la franchise exigée est plus élevée, mais seulement pour la première utilisation.
Peu rentable pour les assureurs
Pour les assureurs, l’assurance « à la demande » n’est pas vraiment rentable puisque les assurés ne paient qu’occasionnellement et seulement lorsque la couverture a été utilisée. Cela signifie qu’ils paient moins pour des offres qu’ils pensent couvrir ce dont ils ont besoin.
Quoi qu’il en soit, la tendance gagne du terrain et l’assurance « on-demand » est de plus en plus appréciée puisqu’elle permet de couvrir des besoins sur-mesure : perte d’objets, dommages accidentels, vols, assurance pour chaque trajet, …