La coassurance, ça vous dit quelque chose ?
La gestion des risques est l’une des tâches les plus indispensables de toute compagnie d’assurance. En général, les entreprises d’assurance fixent une valeur maximale au-delà de laquelle elles ne peuvent s’engager afin de rester dans les normes de leurs prévisions statistiques et budgétaires.
Pour traiter plusieurs risques, la société pratique la sous-traitante ou la cotraitante d’une partie de ses activités avec des partenaires. Les deux techniques utilisé par les entreprises d’assurances la coassurance et la réassurance.
Par simple définition, une coassurance est une action permettant à certaines sociétés d’assurances ou entreprise d’assurances de garantir un même risque ou plusieurs risques d’une seule clause. Parfois les agents ont des difficultés à garantir certains risques à cause de l’importance des capitaux à envelopper. Pour s’apaiser, les assureurs ont recherché une manière nommée coassurance.
C’est quoi exactement la coassurance ?
Une coassurance permet à certains agents d’entamer collectivement une garantie pour envelopper une menace sérieuse en limitant simultanément leur contrat à des échelons qui leur conviennent.
La manière est usée pour assurer des risques spécialistes et dans le cadre de risques manufacturiers d’un véritable impact.
Bienfait de la coassurance, les agents esquivent de l’obligation de compenser seuls un montant très supérieur c’est-à-dire que cette caution permet de couvrir plusieurs essayes à la demande de l’acheteur. Par exemple, une association adopte une coassurance sur l’ensemble de ses patrimoines en favorisant les assureurs de l’association afin de les proposer des transactions.
Les principes de la coassurance
Afin de bien comprendre le principe de la coassurance, tenons un exemple un chef d’entreprise a envie d’étudier la garantie pour masquer une fabrique de mobilier. Après avoir étudié son plan, il évalue les capitaux à couvrir à 60 millions de dollars. Ce montant excessif prend en charge les immeubles et le requête des différends.
La société d’assurance informe le directeur de l’entreprise qu’elle est disposée à assurer les dols à raison de 55 %. Cela indique que le courtier peut masquer le sinistre maximum éventuel de 55 % des capitaux (60 millions de dollars).
Le responsable de la société est obligé de trouver des assureurs pour prendre en charge les 85 % de risques qui restent. Il peut s’agir de 3 Co assureurs, un accepte d’indemniser 40 % du capital couvert en cas de sinistre et les 2 autres 35% chacun.
Ce qui veut dire que, les assureurs vont utiliser la coassurance quand le risque est élevé et que le coût des biens à garantir est aussi important.
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La matérialisation de la coassurance
Par rapport la matérialisation de la coassurance est une division horizontale des préjudices et peut se pratiquer de deux façons : par police séparée ou police collective.
Polices séparées
En adoptant pour les polices séparées, chaque participant détermine sa police sur la somme des coûts à couvrir. Ainsi, chaque agent est obligé de mettre en place une police de manière à ce qu’il doive couvrir chacun la somme du risque. Le contrat d’assurance présentée par chaque assureur précise la dénomination de chaque participant intervenant
Polices collectives
Les polices collectives sont les méthodes de coassurance les plus habituelles. Dans ces cas, les différents agents qui participe au contrat appelés Co assureurs offrent aux acheteurs une seule police d’assurance. Celui-ci t montre des différentes appellations telles que la situation, les garanties accordées, les taux applicables des différents Co assureurs ainsi que le coût de leur contrat, la nature de la caution c’est-à-dire les localités et activités faites par la compagnie, y a aussi les capitaux assurés, primes, déclarations et clauses particulières.
Toute police d’assurance couvrant les patrimoines physique comprend un règlement de coassurance ou de règle relative. Son but c’est d’obliger les assurés à tenir des coûts d’assurance hautains. Généralement, la coassurance se formule par un pourcentage qui convertit de 100% à 80%. Ça veut dire que vous devez vous assurer jusqu’à un minimum de X% du montant réelle de votre patrimoine pour ne pas avoir de sanction en cas de perte.
À savoir que la règle proportionnelle ne s’applique seulement qu’en cas d’abandon partiel. Pour les pertes totales, vous allez recevoir le coût de votre ligne d’assurance. Sachez juste que, pour pertes passagères de moins de 5000$ ou de moins de 2% du coût de caution, la règle proportionnelle ne s’applique pas.
Ici nous vous montrons la formule de l’indemnité
(Montant de garantie x Montant du sinistre) / Montant minimum exigé = Montant de l’indemnité
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Rôle de l’apériteur
Le but de l’apériteur est de gérer le contrat, représenter tous les Co assureurs. Les coassureurs lui donneront toutes les tâches de gestion des clauses. L’apériteur a comme occupation d’estimer le prix adéquat au risque, déclarer les avis d’échéance de gratification. La société apéritrice a le devoir d’établir l’inspection, les exécutions de prime ainsi que les avenants.
L’apériteur contribue pour le compte de tous les Co assureurs. Il le seul à signer la police d’assurance avec l’acheteur. Souvent, le client ne connaîtra jamais les autres points d’assurance participant à la couverture d’éventuels sinistres. Les signatures de tous les assureurs tracent dans un dossier d’accord enregistré dans les conserves de l’entreprise apéritrice. Tenons à dire que les Co assureurs peuvent se débarrasser leur participation ou diminuer le coût sauvegardé après avoir indiqué l’administrateur de la clause. Ils devront dans ce cas contacter une ou certains autres points d’assurance afin de remplacer ce changement de dénouement.
C’est quoi alors la réassurance ?
Le principe de la réassurance est simple et basique : le réassureur est l’assureur de la société d’assurance. La compagnie transforme alors un assuré du réassureur, à qui elle propage une participation sur la base d’une opération du risque que la compagnie d’assurance figuré.
La réassurance permet aux entreprises d’assurance de : Faire face aux sinistres exceptionnels, se garantir contre la ruine des assureurs qui n’ont pas les fonds en cas de danger, d’avoir une plus grande capacité et sûreté financière, de partager le risque sans diviser la clientèle et ce à la différence du procédé de coassurance.